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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 17:28

 

Après une pause estivale de 2 semaines qui dura finalement 2 mois (!),

après un rechargement des batteries loin du net qui me fit beaucoup de bien,

 

Je vous annonce aujourd'hui que le Grenier déménage !

Après 4 ans sur Overblog, le Grenier de Choco avait besoin de changer d'air.

 

grand-demenagement.jpg

 

Désormais vous pouvez me retrouver sur un tout nouvel espace :

 

www.grenieralivres.fr

 

Je vous y attends avec impatience !


 


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28 octobre 2012 7 28 /10 /octobre /2012 07:00

 

 

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Première halte norvégienne au camping de Lindesnes (Point B de la carte).

Au fond du camping, accès à la mer et vue sur la côte fortement découpée.


 

norvege-16.jpg

 

 

itinéraire 1

 

 

Les dimanches en photos sont aussi chez : 

Tiphanie, Choupynette, Fleur, Liliba, SeriaLecteur, Margotte, Estellecalim.

 

 


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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 07:00

 

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Arrivée au port norvégien de Kristiansand

 

 

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 20:30

l-ile-infernale-t1-01.jpgUn nouvel éditeur manga fait son apparition sur le marché. Son nom : Komikku. Certains amateurs de nipponeries devraient reconnaître derrière cette nouvelle entité la librairie parisienne du même nom, spécialisé Japon et Asie. Désormais, Komikku se lance dans l'édition et promet un travail d'édition de qualité soutenu par une promotion dynamique de chacun de ses titres.

Le premier ouvrage à sortir est un manga seinen prévu en 3 tomes : L'île infernale.

 

Le Japon a abolit la peine de mort en 2009, estimé trop injuste. Désormais, la peine capitale prend la forme d'un exil sur une île éloignée où sont conduit les plus dangereux criminels. En ce jour, l'île infernale voit l'arrivée d'un nouveau groupe de prisonniers. Parmi eux, Ei Mikoshiba condamné pour le meurtre de 5 personnes, un géant musclé qui semble n'avoir peur de rien, et Kozuma, un pleutre au physique fluet et détourneur de fond, qui cache sa peur en parlant trop. Nous découvrons leur arrivée sur cette île livrée à elle-même dont personne ne peut s'enfuir. Alors que leurs compagnons sont tués dès la porte franchie par un groupe de prisonniers, Mikoshiba et Kozuma réussissent à s'échapper pour cheminer ensemble et tenter de comprendre les lieux et les usages en cours. On apprend alors que Mikoshiba n'est pas sur cette île par hasard : il a tué intentionnellement afin de se retrouver dans cette prison particulière où il espère mettre la main sur l'homme qui a massacré sa famille... un homme qui était son ami...

 

Le thème de l'exil sur une île infestée de monstres, criminels et autres joyeusetés n'est pas nouveau. Mais ici, l'auteur y superpose une sombre histoire de vengeance qui  reste encore pleine de zones d'ombres dans ce premier volume. L'île prison est bien évidemment inhospitalière et s'apparente à une sorte de jungle où les hommes sont prêts à tout pour survivre. Organisés en bandes, regroupés dans le village ou éparpillés dans la nature, ils sont prêts à tuer pour un blouson ou un bol de riz. Alors que les uns chassent les quelques animaux de l'île, les autres préfèrent réduire en esclavage leurs prochains réduits à d'effrayants fantômes hagards facilement remplacés. 

Vous l'aurez compris, le scénario ne fait pas dans la délicatesse et la violence règne dans cette histoire. POur autant, cette dernière ne semble pas gratuite et le caractère des personnages adoucit quelque peu l'ensemble. Mikoshiba, derrière son allure de meurtrier sanguinaire, semble un homme réfléchi et son fort tempérament l'aide à se faire respecter sans avoir à trucider tout le monde. Son compagnon d'infortune, suiveur un peu naïf et peureux, s'attache à ses pas dans lesquels il trouvera peut-être une certaine force. On croisera également d'autres prisonniers de cette île. SI ceux qui les ont accueillis dans le sang se révèlent au final assez humains, d'autres "habitants" plus sournois cachent derrière leurs sourires de bien atroces exactions.

Prévue en 3 tomes, cette série entre directement dans l'action sans s'embarrasser de détours inutiles. Entre scènes d'actions violentes et passages psychologiques, le scénario s'avère fort bien équilibré, en introduisant les points essentiels de l'histoire tout en garantissant un suspense certain quant à la quête de vengeance de Mikoshiba.

Côté dessin, le mangaka est parvenu à coller à son sujet. La mise en page est dynamique, les décors sont chargés et rendent une impression lourde et étouffante qui renforce l'aspect malsain de l'île. Les personnages sont fort bien reconnaissables et leurs expressions finement travaillées.

 

L'île infernale s'avère donc au final une bonne surprise. Si le scénario semble de prime abord assez classique, on peut pourtant décéler quelques pistes amenant à d'autres chemins de traverse, notamment l'apparition d'un personnage plus qu'intriguant dans les dernières pages de ce premier volume. Dans tous les cas, nous avons une série efficace qui devrait combler les amateurs de seinen violent qui aiment avoir du contenu et de la psychologie pour aller avec. Bref, je recommande ce titre et attend la suite prometteuse de ce nouvel éditeur qui débute sans fausse note !


 

A noter :

Le tome 2 sortira en janvier et le troisième en avril.

 

Liens :

Pas de planches disponibles à vous présenter mais les premières pages sont à découvrir ICI !

 


 


Titre : L'île infernale, tome 1

Dessinateur / Scénariste : Yusuke Ochiai

Éditeur : Komikku

Parution : Octobre 2012

  180 pages 

Prix : 7,90€


 


 

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 13:00

 

 

Les côtes danoises s'éloignent....

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Pour mieux découvrir la côte norvégienne :

Arrivée à Kristiansand

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 07:00

 

Acey Harper, fils d’un cowboy de rodéo, a passé ses années de formation aux Bahamas avec son grand-père : un pêcheur en haute mer et chasseur de trésor. Après de nombreuses années à parcourir le monde en tant que photojournaliste, il travaille comme directeur de la photographie à New York, San Francisco et Washington DC.

 

Son dernier travail est le fruit d'une collaboration avec des acrobates pour la plupart issus de la même école : le Circus Center in San Francisco.

 

Le résultat est superbe !

 

 

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http://www.aceyharper.com/

 

Le photographe expose actuellement à la Galerie Catherine et André HUG

du 3 octobre au 3 novembre.

Profitez-en !

 



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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 20:54

preacher-t1-01.jpgAu commencement était le Verbe.

Et de fait, nous pénétrons dans l'histoire de Preacher en assistant au déjeuner de 3 personnages qui se racontent leur parcours. Le révérend Jesse Custer a fuit son église où un massacre a eu lieu et a croisé bien à-propos Tulip, son ex-petite amie qu'il avait largué autrefois sans mot dire. Cette dernière, bien décidée à connaître la raison de sa désertion, compte bien lui coller aux basques tant qu'elle n'aura pas eu ses réponses. Accompagnée de ses flingues qui ne la quittent pas mais aussi de Cassidy, un curieux bonhomme qui l'a prise en stop et se cache du jour la journée, Tulip emboite le pas à Jesse, et c'est désormais à 3 que la petite équipe fuit... car les choses ne sont pas si simples...

 

Jesse Custer a vu l'église où il officiait de manière exaltée, complètement pulvérisée. La lumière qui a surgit a tué tous les fidèles et seul Jesse en est sorti vivant. Fuyant le lieu du massacre, il va bientôt comprendre qu'une entité du nom de Génésis a fusionné avec lui. Ce dernier, issu des amours d'une démone et d'un séraphin, vient de s'échapper du ciel où il était retenu prisonnier, son pouvoir trop grand menaçant celui de Dieu. Le problème est que Dieu s'est tiré du paradis et laisse tout ce bordel aux mains de ses sous-fifres complètement dépassés. Pour le récupérerer, les anges envoient alors le terrible Saint des Tueurs qui semble plutôt incontrolable.

Poursuivis donc par le Saint des tueurs mais aussi par un super flic qui se sent pousser des aîles, Jesse et ses 2 compères prennent la fuite. Alors qu'on découvre que Cassidy est en fait... un vampire, Jesse profite de "la voix de Dieu" que lui a conféré la fusion avec Génésis : sa parole fait force de loi et tout le monde y obéit, même contre son gré. Je vous laisse imaginer l'effet d'un "Va te faire foutre, connard"... En attendant, Jesse ne se laisse pas faire et est bien décidé à retrouver Dieu pour lui botter le cul.

 

Vous l'aurez compris à ce résumé, Preacher est une série un peu barrée, qui ne s'encombre pas de finesse. La violence et la vulgarité sont omniprésentes. Sexe, tripailles et outrages langagiers sont de rigueur. Les personnages sont totalement immoraux, le révérend le premier.

L'Amérique qui nous est dépeinte est peu reluisante : raciste, arriérée, mesquine. Ses habitants sont des alcooliques, des dégénérés, des suicidaires ratés, des corrompus, des chrétiens de pacotille qui se donnent bonne conscience à coup de sermons et de confessions.

Une violence démesurée certes mais qui se trouve contrebalancée par l'humour noir sous-jacent et totalement irrévérencieux du scénario. Un Dieu qui a décidé de laisser en plan sa création, un pasteur défroqué qui se met à sa recherche pour lui demander des comptes, un grand méchant envoyé non pas par l'Enfer mais par les Anges du Paradis. On nage dans un délire total qui colle au mot religion le terme de trash.

 

Si vous fréquentez régulièrement ce blog, vous savez un peu que les comics ne sont pas particulièrement ma tasse de thé. Je peine souvent à entrer dans leur univers et surtout à apprécier le graphisme américain.

Preacher ne me fut pas aisé à aborder. J'ai eu du mal à accepter ce mélange de fantastique et de religieux, à comprendre où l'intrigue allait me mener. Le dessin de Dillon, pourtant très accessible, ne m'a pas transporté.

Pourtant, avec le recul, avec la rédaction de cet avis, je me rends compte malgré tout que cette histoire a su me séduire. Son côté foutraque, son humour que je n'ai pas perçu tout de suite, les dialogues percutants de Ennis, la critique fort bien amenée de la religion et de l'Amérique puritaine qui en prend plein la face.

Finalement, je crois que je vais lire la suite... et ça, c'est déjà une petite victoire et le signe que cette série est de qualité !

 

Bref, un titre décalé et explosif qui oscille entre humour trash et critique sociétale sous couvert d'un scénario abracadrant ! A la fois polar fantastique et western contemporain, Preacher est une référence qui bouscule de manière décapante l'univers des super-héros.

 

 

A noter :

La série n'est hélas plus totalement disponible aux Editions Panini.

Mais je peux déjà vous annoncer qu'elle devrait être reprise en 2013 par Urban Comics.

 

D'autres avis plus éclairés :

David - Oliv' - Yvan -

 

 

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Titre : Preacher, tome 1 : Mort ou vif

Dessinateur : Steve Dillon

Scénariste : Garth Ennis

Éditeur : Panini

Parution : Mars 2007

  216 pages 

Prix : épuisé



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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 19:50

BD :

 

- N'embrassez pas qui vous voulez

- D'air pur et d'eau fraiche

- Mégabras

- Thoreau, la vie sublime 

- Les enfants de l'ombre

- La conteuse des glaces

- La dernière femme - Charles Masson

- Loup de pluie

- Le magasin des suicides

- W.W. 2

- Le crochet à nuages

- La ballade de Magdalena, tome 1

- Zizi, chauve souris, tome 1

- Batchalo

- La balade de Yaya

- Blechkoller

- Un peu de bois et d'acier

 

Manga :

 

- Virtus, le sang des gladiateurs, tomes 1 et 2


 

Romans :

- Le lac indigène - Pignatelli

- Mapuche - Caryl Ferey

 


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30 septembre 2012 7 30 /09 /septembre /2012 15:01

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28 septembre 2012 5 28 /09 /septembre /2012 07:00

ballade-de-magdalena-t1-01.jpg1913, Arnaud de Sars quitte tout, sa famille, son entreprise, son pays, pour prendre la route autour du monde. Quelques mois plus tard, sa fille Léonie de Sars part sur ses traces en Nouvelle Guinée afin de retrouver le père disparu et le ramener auprès de ses affaires menacées de faillite. Sa route va croiser celle de Lukian et de sa nièce Magdalena. Ces derniers viennent de subir un naufrage qui a coûté la vie au père de la jeune fille. Mais le violent Lukian laisse peu de place aux sentiments et embarque à sa suite Léonie dont il serait le dernier à avoir été en contact avec son père, et l'étrange et silencieuse Magdalena, dans une aventure maritime loin de tout repos.

 

Comme l'annonce la couverture, La ballade de Magdalena se place sous le signe de l'aventure maritime. Et de fait, cette histoire débute par un naufrage dramatique qui coûte la vie à quelques hommes. Le frère de Lukian en fait partie. Mais ce dernier, loin de s'apitoyer sur cette perte, affiche une insensibilité notoire qui le rend cruel. Les gens qui l'entourent font les frais de son autorité, de sa brutalité et de sa grande gueule. Même pour sa nièce Magdalena, c'est "marche ou crève". La jeune fille désormais orpheline complètement sous la coupe de cet homme, et peu habituée aux contacts extérieurs, semble dans son monde, n'affichant elle aussi que peu d'émotion tout en étant sujette à des crises de panique paralysantes. L'arrivée de Léonie de Sars dans leur groupe, jeune femme de bonne famille qui tente de s'adjoindre l'aide de Magdalena pour faire parler Lukian de ses rapports avec le père disparu, ne réussit pas à dérider cette jeune fille effacée.

Nos personnages vont bientôt reprendre la mer pour une fuite aventureuse qui flirtera avec la flibusterie.

 

Série d'aventures en 2 tomes, La ballade de Magdalena se présente comme un voyage aventureux en compagnie de personnages plus ou moins faciles. La figure de Lukian est majeure dans ce premier volume et sa personnalité détestable marque les esprits. Si les 2 femmes semblent plus effacées, nul doute que le deuxième tome leur accordera une place d'importance comme le suggère le final de cet album que je vous laisse découvrir. La présentation des personnages, l'action se mettent en place avec facilité et bientôt l'intrigue se complexifie. Première guerre mondiale en arrière-fond, mystère autour de Magdalena et ses curieuses crises, autour du père de Léonie, autour de Lukian lui-même. Le maillage est dense, suspense, aventure et voyage se rejoignent ici pour offrir au lecteur un scénario riche et très maîtrisé, ferrant son lecteur avec de nombreuses questions en attente.

 

Si le scénario est de qualité, on peut en dire autant pour le dessin qui s'avère une grande réussite !

L'auteur est sans nul doute un amateur de la mer, sous toutes ses formes. Son travail sur l'eau, les bateaux est remarquable. Je pense notamment à quelques planches qui se déroule sous l'eau et s'avèrent saisissantes. La colorisation en couleurs directes est parfaite. Les dégradés de couleur, les jeux de lumières, les scènes nocturnes particulièrement bien rendus sont un des atouts majeurs de cet album.

Mon seul bémol, les personnages : on sent que leur représentation est moins aisée. Les visages sont très fixes, peu expressifs, parfois même grimaçants.

 

Très prometteur, cet album réalisé entièrement en solo par le dessinateur du Cycle d'Ostruce s'avère un très bon début de série, malgré ses petits défauts. Une belle histoire aventureuse et dépaysante magnifiée par la qualité graphique de Christophe Dubois qui devrait voir, je l'espère, sa qualité confirmée dans un deuxième et dernier tome à paraître.

 

 

Liens :

Interview de l'auteur

 

D'autres avis :

Cely

 

 

ballade-de-magdalena-t1-02.jpg

 

ballade-de-magdalena-t1-03.jpg

 

ballade-de-magdalena-t1-04.jpg

 

 


Titre : La ballade de Magdalena, tome 1 : La stratégie du poisson-flûte

Dessinateur / Scénariste : Christophe Dubois

Éditeur : Le lombard

Parution : Septembre 2012

  63 pages 

Prix : 14,99€




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Humeur

Le 26 Août 2013 :
Le grenier de choco n'est plus...
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